Manifeste des chasseurs et naturalistes haut-rhinois pour la biodiversité et la sauvegarde de la faune sauvage
Nous, chasseurs haut-rhinois et naturalistes de l’association Sauvegarde Faune Sauvage, affirmons que la faune sauvage est en danger.
Les grands cerfs mais aussi les chamois, les daims et les chevreuils sont directement menacés.
Naturalistes, photographes animaliers, promeneurs et chasseurs, nous faisons tous le constat de la diminution notoire de la grande faune.
Aujourd’hui, nous alertons, pour la deuxième fois la population quant à la mise en péril de la grande faune au profit de la rentabilité de l’agriculture et de l’agroforesterie suite à des prélèvements trop massifs d’animaux qui nous sont imposés.
Nous dénonçons les pressions subies quotidiennement pour tirer toujours plus et nous nous désolidarisons des pratiques visant à l’éradication des grands animaux.
Par le tir exigé, beaucoup trop élevé, de 2000 cerfs par an, 350 chamois, 165 daims et 10 000 chevreuils, s’ajoutant à l’impact des grands prédateurs, nous fragilisons fortement les espèces.
Nous refusons d’être les fossoyeurs de tous ces animaux.
Face au changement climatique impactant l’environnement, les animaux ne peuvent rester indéfiniment le bouc émissaire, la variable d’ajustement.
Les animaux sauvages ont une valeur intrinsèque et écologique reconnue, ils font partie de notre patrimoine et leur protection est indispensable au maintien de la biodiversité.
Rejoignez le mouvement !
Amoureux de la nature et des animaux, nous avons besoin de vous ! Aidez-nous à sauver la biodiversité en signant notre manifeste.
Manifeste des chasseurs et naturalistes haut-rhinois pour la biodiversité et la sauvegarde de la faune sauvage
Nous, chasseurs haut-rhinois et naturalistes de l’association Sauvegarde Faune Sauvage, affirmons que la faune sauvage est en danger.
Les grands cerfs mais aussi les chamois, les daims et les chevreuils sont directement menacés.
Naturalistes, photographes animaliers, promeneurs et chasseurs, nous faisons tous le constat de la diminution notoire de la grande faune.
Aujourd’hui, nous alertons, pour la deuxième fois la population quant à la mise en péril de la grande faune au profit de la rentabilité de l’agriculture et de l’agroforesterie suite à des prélèvements trop massifs d’animaux qui nous sont imposés.
Nous dénonçons les pressions subies quotidiennement pour tirer toujours plus et nous nous désolidarisons des pratiques visant à l’éradication des grands animaux.
Par le tir exigé, beaucoup trop élevé, de 2000 cerfs par an, 350 chamois, 165 daims et 10 000 chevreuils, s’ajoutant à l’impact des grands prédateurs, nous fragilisons fortement les espèces.
Nous refusons d’être les fossoyeurs de tous ces animaux.
Face au changement climatique impactant l’environnement, les animaux ne peuvent rester indéfiniment le bouc émissaire, la variable d’ajustement.
Les animaux sauvages ont une valeur intrinsèque et écologique reconnue, ils font partie de notre patrimoine et leur protection est indispensable au maintien de la biodiversité.